Bienvenue à la Capitale

Divers Presse

1er avril 2008

Divers Presse


Ils ont triomphé au Palais des Glaces en 2003 - La presse les a salué unanimement :

"Cette pièce est un pur joyau de notre terroir.C’est aussi une belle histoire d’amour entre une mère et son fils." Pariscope

"Les Bodin’s brossent un portrait hilarant et touchant du monde rural.Le spectateur est comme plongé dans un dessin animé, tant bruitages,décors et comédiens sont exubérants." VSD

"Dans une mise en scène habile, ces deux jeunes comédiens avouent beaucoup de tendresse pour des personnages à l’efficacité comique incontestables." Zurban

"Jeux de mots, situations loufoques forment l’univers de ce spectacle qui ne sombre jamais dans la vulgarité, ni dans la moquerie gratuite.La vie parisienne, avec ses bizarreries, analisées par la Maria Bodin vaut le détour.Derrière ces deux personnages hauts en couleur se cachent deux formidables artistes,Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet." Pariscope

"Les Bodin’s mère et fils, drôles de tronches à mi-chemin entre les Deschienset les Vamps. Pendant une heure et demie, ce sont des tranches de vie jubilatoires du monde rural débarquant à Paris.Vos zigomatiques seront rassasiés.Elle Le troisième et nouvel épisode de la saga « Bienvenue à la capitale »est à la hauteur des précédentes aventures rurales et certifiées A.O.Cdu couple inénarrable Les Bodin’s. Les deux comédiens,également auteurs de la saga, Vincent Dubois (Maria) et Jean-Christian Fraiscinet (Christian) sont au mieux de leur forme. On se régale… " Le Parisien

" Les Bodin’s, un couple infernal auquel nul ne résistera !… D’hilarantes scènes matinées de séquences vidéo aussi courtes que désopilantes.D’incroyables métaphores et aphorismes inénarrables fusent,sans répit pour nos zygomatiques, entre deux prises de bec épiques.Les deux auteurs-comédiens sont époustouflants dans ces rôles de composition ! " Tatouvu

"La grande salle du Palais des Glaces est comble pour accueillirle nouveau spectacle des Bodin’s… La sensibilité et l’humour qui les avaient fait connaître opèrent une nouvelle fois et cette satire de la vie parisienne fait fuser les rires de tous les« parigots » de la salle, qui se lèvent pour une longue ovation finale.Les Bodin’s les ont séduits comme au premier jour. " 20 minutes