Quatre gagnants d’un jeu Ouest-France ont été invités samedi 3 décembre 2016, à assister à la 100e du spectacle « Grandeur nature » des Bodin’s. A l’issue de la représentation, ils ont pu découvrir les coulisses de cette ferme recréée spécialement pour la scène.
« On le dit partout ailleurs dans les autres Zénith de France, c’est à Caen qu’on se sent le mieux?! » Trois heures après le début du spectacle, Maria Bodin, redevenue Vincent Dubois, le comédien qui l’interprète depuis plus de dix ans maintenant, avait encore la pêche hier soir à l’issue de la 100e représentation de Grandeur nature, pour adresser tous ses remerciements au public.
Les Bodin’s Grandeur Nature – Teaser
Un public qui, effectivement, ne cache pas sa joie de retrouver, une fois encore, ce « phénomène burlesque », qui affiche complet partout où il passe. La trame est simple?: dans une ferme de Touraine, qui produit du fromage de chèvre « très très fermier », un couple « mère tânée par la vie-fils vieux gars » voit son quotidien transformé par l’arrivée d’une ado rebelle, venue de la ville… et un inspecteur des services sanitaires.
Spectacle né à la base dans une vraie cour de ferme et en plein air, le décor de Grandeur nature a été spécialement adapté pour la scène des Zénith, à l’occasion de la tournée entamée l’an dernier. Avec la masure, la grange, le tout devant un énorme écran vidéo reproduisant la campagne alentour. Sans oublier les animaux, « certains ont déjà tourné dans des films, ils ont l’habitude de la scène », explique l’un des membres de l’équipe technique, qui comprend une soixantaine de personnes.
Ces coulisses se sont dévoilées samedi soir à quatre gagnants d’un jeu Ouest-France. Les visiteurs ont ainsi pu admirer de plus près la voiture, la machine à fabriquer le fromage, ou encore les bottes de paille. Mais motus: les secrets de fabrication ne se seront pas ébruités…
Vu l’engouement du public pour ces tranches de rire, les Bodin’s reviendront une troisième fois au Zénith de Caen, en novembre 2017 (17, 18 et 19 novembre). Et d’ores et déjà, les places s’arrachent comme des petits pains.
