Notamment, la caricature de « face de bouc » mais aussi des sorties parfois fines sur le quotidien, le modernisme, la mort ou encore l’amour. « Le grand amour c’est pas celui qui t’offre des fleurs mais celui qui te coupe les ongles des pieds quand tu peux plus te baisser. » Un peu rustique, mais sans doute vrai.

Les Bodin’s joueront une dernière fois ce spectacle à Châtellerault dans les prochains jours, avant de passer quatre jours à l’Olympia.

Le duo écrit un nouveau spectacle et mène un projet particulier. Si, tous les étés, les Bodin’s jouaient carrément dans une ferme à Descartes, « Les bodin’s grandeur nature », la ferme sera désormais montée sur les grandes scènes de France.

A partir de septembre et à commencer par le Zénith de Nantes, la ferme sera reconstituée pour que l’Hexagone au grand complet puisse profiter de ce spectacle, jusqu’ici réservé à une poignée de spectateurs qui réservaient un an à l’avance.